Les investissements pour les structures sportives sont passés de 3.3 M€ en 2015 à 1.3M€ en 2019 (budget primaire). La ville manque cruellement d’infrastructure pour la pratique d’activités physiques libre. Les grandes manifestations et le sport professionnel, au niveau local, n’améliorent que peu la pratique sportive des habitant·e·s au quotidien, notamment de ceux et celles qui ont des difficultés physiques, économiques ou sociales.
Les pratiques sportives sont très souvent cloisonnées, par disciplines et quartiers, ce qui favorise l’adversité et la concurrence plus que le partenariat et la coopération. Les associations se plaignent d’opacité voir de clientélisme dans l’attribution des créneaux horaires des structures.