Le mal logement
Le nombre de logements sociaux publics sur la métropole est de 33 800, et il y avait 24 500 demandes en attente au 31 décembre 2018 ! Le délai d’attente est aujourd’hui supérieur à 2 ans.
Nos réponsesAucune des mesures que nous proposons ne pourra se faire sans le soutien et la participation des Associations, des Acteurs de terrain œuvrant pour l’accès au logement et des citoyens.
Le nombre de logements sociaux publics sur la métropole est de 33 800, et il y avait 24 500 demandes en attente au 31 décembre 2018 ! Le délai d’attente est aujourd’hui supérieur à 2 ans.
Nos réponsesDes mesures existent (loi SRU, loi Elan, permis de louer, encadrement des loyers...) concernant l’accès aux logements. On constate que le prix des loyers dans le parc privé est en moyenne de 12,5€/ m2, et peut atteindre 19€/m2 pour les petits logements qui sont les plus demandés. Certaines possibilités comme l’encadrement des loyers ne semblent pas utilisées.
Nos réponsesActuellement, des centaines de personnes et de familles avec enfants habitent dans des bidonvilles, des squats, des garages, des tentes,… sur le territoire de Montpellier. Les conditions de vie y sont difficiles et parfois non sécurisées. Les expulsions, à la fin de la trêve hivernale, accentuent cette problématique, jetant chaque année de nouvelles personnes à la rue.
Nos réponsesDans la situation de tension immobilière que vit l’aire urbaine de Montpellier, l’habitat indigne et les passoires énergétiques se multiplient, aggravent la charge financière des ménages les plus pauvres pour se chauffer, aggravent leurs problèmes de santé ou en créent d’autres et constituent un problème écologique reconnu.
Nos réponsesVu les problèmes de prix des loyers, les personnes habitent de plus en plus loin de leur lieu de travail. Dans un contexte d'urgence climatique il nous paraît essentiel de développer des systèmes de transports alternatifs à la voiture individuelle et accessible à tous.
Nos réponsesDans un contexte de tension du marché du logement, le non-respect des règles initiales de AirBNB (résidence principale, nombre limité de nuitées/an) constitue une grave anomalie, favorisant des intérêts particuliers au détriment de l’intérêt général.
Nos réponsesDes innovations sont nécessaires en matière de logement pour répondre à des aspirations nouvelles (habitats écologiques, habitats partagés, solidarités intergénérationnelles, occupations intercalaires, office foncier solidaire…)
Nos réponsesLe réchauffement climatique (montée des eaux, phénomènes violents et canicules…) aggrave la situation de l’habitat notamment pour les plus précaires.
Nos réponsesVous pouvez nous laisser vos coordonnées pour être tenu au courant de nos actualités